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Jean-Julian CULANGE arrêté à l'ambassade de Belgique
Stupeur et consternation, la semaine dernière, dans les bureaux d’Infauxsec News, après l’arrestation honteuse et illégale de notre collègue, Jean-Julian CULANGE, réfugié depuis maintenant 7 ans à l’ambassade de Belgique.
Pour rappel, notre collaborateur et ami était dans le collimateur de la justice depuis la publication, en 2012, d’une vidéo choc montrant deux agents de la DGSE en train de poser une bombe dans la cale du Rainbow Hat, le fameux navire appartenant à l’ONG Skidzpeace.
Au cours de son arrestation, notre infortuné ami a eu le temps de hurler, devant les caméras de plusieurs grandes chaînes de télévision : « Le mot de passe est 123456 ! »
Bien lui en a pris, car après vérification, nous avons découvert que cette
valeur était la clef de déchiffrement du fichier insurance.aes256
publié il y
a quelques années par l’intéressé. Notre rédaction s’est immédiatement attelée
à l’analyse de ces contenus, qui semblent révéler plusieurs complots de nature
à glacer le sang.
On se souviendra du décès brutal de Jean-Paul BOCUSE en 1987 ; le petit-neveu par alliance du comptable de la soeur du fournisseur en légumes frais du célèbre cuisiner alors trahi son pays natal pour fuir au pays des matins calmes, où il s’était mis au service du dictateur. Il y commit une série de crimes de guerre contre la gastronomie française, en lui préparant des mets tels que des escargots au ketchup. Quelques mois plus tard, il succombait à une listeriose foudroyante après avoir consommé un Saint-Marcellin Bio. Selon les informations contenues dans l’archive top secrète, le fromage fatal aurait été en réalité délibérément infecté par deux agents français. Interpellés sur les lieux du crime, ils ont toujours clamé leur innocence, affirmant n’être que de simples touristes venus pour visiter la cathédrale de Pyongyang.
On se souviendra également du maliciel gouvernemental Babar, dont l’attribution à l’état français était claire depuis le départ. Moins claires, toutefois, étaient les motivations stratégiques derrière la création de cette cyber-arme. Il est désormais établi, grâce aux documents contenus dans l’archive, que la charge utile finale de ce maliciel avait pour but de saboter des robots industriels de pétrissage, utilisés en boulangerie pour la fabrication des chocolatines, en les faisant fonctionner pendant la nuit à des vitesses dépassant les normes de sécurité, pour provoquer des défaillances mécaniques. Les autorités de la capitale espéraient ainsi assurer la domination économique du pain au chocolat.
La rédaction ne manquera pas de vous tenir informés des nouveaux scandales que nous découvrirons pendant l’analyse de ce nouveau trésor de données.
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